Les accords signé par certaines prostituées appelée « Partenaires sociaux » prévoient un délai dorénavant de 15 jours au lieu d’une semaine en cas de démission , cette application serait effective depuis le 1er mars 2022.
Les « patrons voyous » se manifestent à cette occasion, mais sachez que si les heures supplémentaires ne sont pas payés ou qu’une partie de votre contrat de travail n’est pas appliqué , après une lettre recommandée de votre part vous pouvez démissionner et avoir droit au chômage si le motif est légitime.
Ces même patrons ne veulent pas appliquer les nouvelles grilles de salaires
Le Conseil de SUD-solidaires Route
Mais cela n’empêche pas une démission sur le champ toujours possible et légale , l’idéal est de rester sur une semaine de délai, l’employeur devra si il veut réparation aller devant les prud’hommes pour demander ces 15 jours de délai en préjudice subi , or en ayant posé une seule semaine , vous montrer que vous avez fait un minimum de prévenance et après des mois d’attente juridique l’employeur aura peu de chance d’avoir gain de cause si dans votre démission vous argumentez votre départ par le stress du travail, les heures supplémentaires non payées, les planning non donnée à la semaine, le harcèlement etc…… de plus il faudra demander devant les prud’hommes le « cahier d’entrée et sortie des salariés » pour démontrer que votre départ n’a engendré aucun préjudice pour la société.
Car il appartiendra à l’employeur de prouver un éventuel préjudice si il veut des dommages et intérêts.
Et plus important adhérez à un syndicat efficace qui dénigre les patrons voyous mais surtout qui prend plaisir à casser ces patrons et leurs conseils qui se prennent pour Dieu devant des Juges professionnels car les juges non professionnels sont politisés.
Avoir un syndicat à vos côtés non corrompus et/ou une assurance juridique de la part de votre banque et assurances ( voiture/maison) vous permet de vous défendre et d’attaquer ces voyous que la profession prétend ne pas connaître car la plupart les cautionnent pour la libre concurrence.
Connaitre vos droits
c’est la plus grande crainte des employeurs