On avait communiqué sur les NAO, c’était avec nous, mais pas sans sou, aujourd’hui, c’est sur le mépris de nos patrons. 

Le 10 novembre nous avons pris conscience du fossé abyssal qui sépare le monde des salariés de celui de nos patrons et de nos dirigeants en général. 

Notre fédération maintien ses revendications et continuera à les diffuser et à les défendre.