Un mal tueur de vie …
Aucun d’entre nous n’a connu une vision de ce monde, telle que nous la vivons depuis ces dernières heures.
Un mal sans antidote connue s’est installé parmi nous, un mal destructeur d’économie, mais plus encore, un mal tueur de vie !
Malheureusement, nous sommes dépourvus de solutions, nous ne pouvons que subir, mais pour combien de temps.
Notre profession indirectement touchée …
Notre profession est de plein fouet impactée par des mesures indirectes. La fermeture des restaurants routiers ou autres va bouleverser nos habitudes et pourtant il faudra bien quand même faire le ‘’job’’. Nous serons contraints de réapprendre à se laver au robinet, avec une bouteille d’eau chauffée au chauffage additionnel de cabine. Nous serons forcés de nous plier aux plans draconiens de sécurité et de préconisation, s’habituer à cette stigmatisation que l’on devra subir car nous serons dans les entreprises visitées, considérés comme ‘’persona non grata’’. Et pourtant, il faudra bien quand même faire le ‘’job’’.
Le droit de retrait …
Aujourd’hui, demain, dans les jours à venir, nombre d’entre nous se verrons confronter au dilemme du droit de retrait, droit prévu encadré par les textes …Personne ne peut vous imposer de mettre votre vie en danger. Par contre, ce n’est pas le fait d’aller travailler qui présente un risque mais bien les conditions dans lesquelles vous serez amenés à travailler.
N’oubliez pas une règle essentielle, prendre soins de vous, c’est protéger celles et ceux qui vous entourent.