Droit de Parole :
Le management des employeurs du transport routier pousse vers la smicardisation et une disponibilité accompagné d’une polyvalence ; en effet la honte ne tue pas en 2018 c’est pour cela que pendant que les uns crient au secours on trouve plus de chauffeurs , les autres accroissent la précarité et la pression sur les chauffeurs.
Des exemples , tous en ont de mémoires lorsque l’on rencontre des chauffeurs qui raconte que l’on a la net impression de reculer dans ce métier, et de voir des réflexes des années 80 de retour.
Des camions sans webasto , cela revient avec les camions au gaz……….
Des camions sans couchette, cela se multiplie ………
Des salaires à minima, on en rencontre de plus en plus….
Des polyvalences pour le salaire de base, cela devient courant……..
Des patrons qui semblent « demeurés » dans leurs argumentaires, c’est de plus en plus courant …..
Des « fins de carrières » de chauffeurs qui sont traités jusqu’au dernier jour comme des moins que rien…..
Finalement on pourrait comprendre que les patrons français poussent volontairement à la pénurie de chauffeurs pour en faire venir en masse de syrie, irak et des pays de l’est.
Après la fin du pavillon français , les chauffeurs routiers ne seront plus que cantonné à la courte distance pour 1500 euros net par mois.
Honte au patronat français du transport routier…………
Thierry.A